32e dimanche des temps ordinaires

Psaume 52

Dieu, c'est toi, mon Dieu,
que je désire dès l'aube,
mon âme a soif de toi.
Ma chair languit après toi
dans une terre ingrate, aride, épuisée.

Oui, je t'ai vu au sanctuaire,
en contemplant ta force et ta gloire ;
alors ton amour valait mieux que la vie,
et mes lèvres pouvaient te chanter !

Oui, je te bénirai ma vie durant,
à ton nom, je lèverai les mains ;
comme d'un festin, je serai rassasié,
la joie aux lèvres, je dirai ta louange.

La nuit, si j'évoque ton nom,
je passe des heures à le redire,
car tu es venu à mon secours :
j'en ai crié de joie à l'ombre de tes ailes !


Textes liturgiques © AELF, Paris